Proverbis contra la corrupció

Marrakeich. Era un viatge de turisme. Hi havíem arribat pel matí amb la intenció de passar uns dies al país veí. Caminàvem per la plaça de Jemaâ el Fna quan ens trobem davant d'un edifici amb columnes. Un cartell ens cridà l'atenció i ens deturem a llegir-lo. Un home, amb aspecte de bibliotecari, apareix per la porta i s'adreça a nosaltres invitant-nos amablement a entrar a l'exposició que s'anunciava. El recinte constava de diverses sales. A les parets, quadres de diferents autors semblava que il·lustraven un breu proverbi en francés col·locat al capdamunt. Ens van detenir a contemplar-los i a llegir els proverbis. Com era de rigor vam fer fotos als quadres incloent-hi els adagis. Es respirava un ambient un pel transgressor. Quan vam acabar van donar-li les gràcies i ens trobaren de nou pels carrers de la ciutat comentant la llibertat d'expressió de la feia gala el Marroc mostrant aquella exposició.
A l'endemà passaren de camí pel mateix lloc i van veure bona cosa de policies i vehicles policials a la porta. L'exposició havia estat clausurada.   

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Des proverbes contre la corruption

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Exposition. Place Jemaâ el Fna
Jusqu'au 25 novembre
Depuis sa fondation en 1996, Transparency Maroc s’est appuyé sur l’engagement des intellectuels pour approfondir la connaissance du phénomène de la corruption et améliorer la pertinence de son plaidoyer en faveur de l’intégrité. Le génie créateur des chercheurs, écrivains, poètes, dramaturges, plasticiens et professionnels de la communication a permis à l’association de mieux porter le message de lutte contre la corruption au cœur de la société et en marquer durablement les esprits. Les publications, affiches, agendas, calendriers, spectacles et chansons témoignent de la qualité des travaux réalisés grâce à la participation de tous.


Poursuivant la quête pour le rayonnement de ce plaidoyer, Hakima Lebbar (membre du Conseil National de Transparency-Maroc) a conçu et développé un projet autour de proverbes et adages qui évoquent la corruption en langues parlées arabe et amazigh ; l’objectif étant de créer, à partir de la forme syntaxique du proverbe de nouvelles expressions qui mobilisent les citoyens contre les pratiques de corruption et appellent à leurs condamnations.
Avec l’aide précieuse de Ahmed Tayeb El Alj (dramaturge et poète), de Khalid Jamai (journaliste, écrivain), Zakia Iraqui (linguiste, directrice du dictionnaire Colin d’arabe dialectal) Driss Azdoud (chercheur à L’IRCAM) et Ait Maghrad Khettouch (enseignant) une liste d’expressions a été arrêtée et soumise à de nombreux artistes et écrivains pour les inviter à s’en inspirer afin de produire chacun et chacune un travail dans le même esprit. Des ateliers ont été également organisés avec des élèves de plusieurs collèges à Kénitra, Beni Mellal et Casablanca pour créer de nouvelles expressions contre la corruption. Ces expressions ont été gracieusement calligraphiées par Mohamed Qarmad, Smail et Rachid Bourqaiba et seront exposés avec les travaux des artistes.

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